Il y a des êtres dont la vie est plus courte que d’autres… c’est le cas de la chouquette par exemple.
Je me suis levé ce matin, j’ai déjeuné, glandouillé, ménagé mon appart, rempli mon frigo… bref, des trucs passionnant. Alors que j’étais en train de manger, encore, je me suis interrogé sur un sujet qui nous concerne tous.
La vie
Sur terre, nous sommes des milliers (peut-être même millions) d’espèces différentes à vivre plus ou moins paisiblement. Si j’agrandis ma vision à l’univers… et bien cela se trouve, des dizaines de millions de milliers d’êtres vivent pénards et bien tranquillement les 7 doigts de pieds en éventail en buvant du sirop d’himerdasofe et mangeant du bouzouïoli aux 4 coins de la galaxie.
Revenons un peu sur cette bonne vieille planète bleue. Quand il y a un être, il y a aussi un cycle (avec la chanson qui va avec)… une vie et souvent des prédateurs (non je ne parle pas du Prédator m’enfin !) qui veulent la raccourcir. Puis la mort qui vient souvent avec ces mêmes prédato… prédateurs. Bordel ! Ne m’embrouillez pas !
Le début d’une vie entraîne généralement joie et bonheur tandis que sa fin, tristesse et chagrin. Pour le règne animal, c’est aussi le cas sans doute pour certaines espèces et pour d’autres et bien c’est la vie… point.
Si je prends quelques exemples parmi nos colocataires terrestres (toutes catégories confondues et sans que l’homme soit venu foutre le bordel) et bien par exemple :
Durée de vie ou date limite de consommation
- Les Turritopsis dohrnii, sont des petites méduses qui peuvent entre autre, rajeunir… donc sont un peu immortelles. -_-!
- Les tortues géantes peuvent vivres un bon 150 ans voir beaucoup plus.
- Certains arbres ont très largement franchi la barre des 1000 ans.
Bon, bien entendu, il y a aussi les êtres dans le durée de vie est très courte
- Les hamsters d’europe vivent 1 ans.
- Les moustiques vivent quelques journées… mais peuvent rester à l’état larvaire plusieurs années.
- Les chouquettis domesticus ne restent en vie que quelques minutes, voir heures.
Les chouquettes
Vous ne connaissez pas cette dernière espèce, les chouquettis domesticus ? Dans le langage courant, on parle de Chouquettes. Des petites boules creuses qui vous font de l’œil quand vous passez à côté. elles se déplacent souvent en meute de 20-30 individus. Cela vous parle plus sans doute
En général, la vie est soumise à quelques petites règles assez élémentaires notamment en ce qui concerne la relation proie-prédateur. Si tu veux la prolonger autant que possible, il vaut mieux ne pas aller provoquer ton prédateur naturel.
- Tu es humain, ne joue au super héros avec Dame Nature, faire du cerf-volant sous un orage n’est pas une bonne idée (Te voilà au courant ?).
- Si tu es un chevreuil et tu veux traverser la route sans prévenir ceux qui l’empruntent. Bien ! Il ne faudra pas venir te plaindre si tu te retrouves à la fin dans une terrine.
- Quand tu es une chouquette, ton risque de ne pas survivre jusqu’au couché du soleil est doublé voir triplé si tu es estampillée « PROMO » et qu’un chouquettivore passe dans les parages. C’est valable même si tu te balades avec 20 ou 30 potes à toi.
Ces règles semblent assez logiques pourtant il y en a toujours qui veulent se faire voir plus que d’autre. Un problème d’ego, un caractère trop extravertie ou envie de plaire à la fille d’à côté… Il faut quand même que quelqu’un le dise une bonne fois pour toutes :
Si tu veux survivre dans cette ère hostile qui est la nôtre, ne prend pas de risques incommensurables et NE SOIT PAS UNE CHOUQUETTE quand tu es dans mon champ de vision !
Pourquoi ne pas être une chouquette ?
Parce que je suis le prédateur absolu de la chouquette… le chouquettivore ultime !
Mes griffes me permettent de saisir sans abîmer. Mes crocs et muscles maxillaires peuvent déchiqueter et broyer sans fatiguer. Mon estomac a la capacité de s’étendre instantanément à partir du moment ou mes yeux auront vu la plus petite chouquette à plusieurs mètres à la ronde. Une chouquette prévenue en vaut deux désormais !
Ce fut un vrai carnage… aucun survivant retrouvé et le coupable court toujours
Cher(e) ami(e) lecteur(trice), tu l’auras compris, cet article c’est du grand n’importe quoi et le plus bizarre dans cette histoire, c’est qu’aucune substance illicite ou même alcoolisée n’a été consommé avant cette rédaction. Mais après tout, à quoi bon avoir un blog si de temps en temps on ne peut y mettre une bonne grosse dose de folie ou autre. Je me suis dit que cela changerait un peu des articles que je fais d’habitude et puis pour ma part c’était marrant à écrire. Il y a donc une bonne probabilité que je récidive.